mercredi 30 juin 2010

Vue panoramique du parc et de son étendue


Fontaine fastueuse ; bassin aux carpes dorées


arbuste scintillant




Dans ce parc, la nature, bien que recréée, ne faisait pas artificielle. Cela n'apparaissait pas comme une végétation stérile et simplement ornementale : les arbres portent des fruits.

Chapiteau de colonne de style ionique


Style ionique reconnnaissable à ses volutes en spirales symétriques.
Cette colonne, à l'image de l'ensemble du parc, d'inspiration à la fois Grand Siècle et romantique, peut rappeller ces vers de Lamartine :
Tu croissais près d'une colonne
D'un temple écrasé par le temps
Tu lui faisais une couronne
Tu parais son tronc monotone
Avec tes chapiteaux flottants
("A une fleur séchée dans un album")

Le Bassin aux cygnes noirs


Statue décapitée




La lumière du soir lui donne comme un coup de projecteur.

Ruines à lumière rasante du soir et végétation


Un magnifique phare




Dommage que l'on ait pas pu y monter (accès fermé).

Bassin et ruines antiques


Les artistes de demain sont montés sur la scène !


Les élèves assistent aux répétitions


Une croix de marquage au sol




Ce type de marquage aide les artistes à se positionnner sur la scène. En fait, tout déplacement dans l'espace scénique a quelque chose de chorégraphié...

Carmen et Don José avant l'heure "h" : répétition de la scène finale, d'amour et de mort




Durant cette dernière scène, apogée tragique, Don José supplie une ultime fois Carmen de le suivre pour partir vivre une autre vie "Loin, d'ici, loin d'ici, sous d'autres cieux". Mais Carmen est née libre, et le restera : elle refuse catégoriquement cette impérieuse demande de son ancien amant. Fou de rage et de désespoir, Don José la tue, préférant la savoir morte que d'accepter qu'elle lui échappe. Chez Don José, la passion confine à la folie.

Les comédiens répètent en tenue décontractée ; les musiciens jouent sous la scène (fosse d'orchestre)


Une violoncelliste très concentrée...


L'imposante table de mixage




Son réglage est au coeur de la "balance", dernière prise de son avant le spectacle.

mardi 29 juin 2010

Le chef d'orchestre applaudit les comédiens (fin de la représentation)



Le chef d'orchestre rend un ultime hommage à ceux dont il a rythmé chaque pas, accompagné de musique chaque geste et chaque parole...

Les artistes face à leur public (fin de la représentation)



Les musiciens ont rejoint les chanteurs, et sortent ainsi de l'ombre. Cette impressionnante "équipe", qui occupe les deux niveaux de la scène, témoigne de l'ampleur des moyens humains nécessaires pour faire exister et représenter un tel spectacle.

L'ultime révérence des artistes, sous une pluie d'applaudissements









Ce salut, qui est une quasi révérence, est toujours un moment d'intense émotion et de communion entre les artistes et le public qui les ovationne. C'est un échange très fort, qui se passe de mots...